Dix mois après le passage du cyclone Chido, Mayotte continue d’en tirer les leçons. Ce dimanche 5 octobre, la place de la République à Mamoudzou accueillait une journée d’actions face aux risques naturels, organisée par la préfecture. Objectif : rappeler aux Mahorais l’importance d’anticiper les catastrophes et d’adopter les bons réflexes pour se protéger.
Météo-France, les sapeurs-pompiers, des associations environnementales et des scientifiques ont répondu présent pour informer le public. Kits de survie, gestes d’urgence et consignes d’évacuation ont été présentés tout au long de la journée. “Chido nous a laissés des choses qu’on ne doit pas oublier. Il faut se préparer, car un autre cyclone peut arriver”, confiait Siti Ali, venue avec sa famille.
La prévention ne se limite pas au risque cyclonique. L’équipe scientifique du Marion Dufresne, en escale à Mamoudzou, a exposé ses travaux sur le volcan sous-marin Fani Maoré, toujours surveillé de près par le réseau Revosima. Quatre étudiants de l’université de Mayotte participent à la nouvelle mission océanographique, preuve que la jeunesse mahoraise s’implique dans la compréhension et la maîtrise de ces phénomènes.
Au-delà de la sensibilisation, cette journée illustre une ambition claire : faire de la résilience une véritable culture civique à Mayotte. Sur ce territoire exposé à de multiples risques naturels, la vigilance et la responsabilité collective demeurent les meilleurs remparts face à la nature.
Dix mois après le passage du cyclone Chido, Mayotte continue d’en tirer les leçons. Ce dimanche 5 octobre, la place de la République à Mamoudzou accueillait une journée d’actions face aux risques naturels, organisée par la préfecture. Objectif : rappeler aux Mahorais l’importance d’anticiper les catastrophes et d’adopter les bons réflexes pour se protéger.
Météo-France, les sapeurs-pompiers, des associations environnementales et des scientifiques ont répondu présent pour informer le public. Kits de survie, gestes d’urgence et consignes d’évacuation ont été présentés tout au long de la journée. “Chido nous a laissés des choses qu’on ne doit pas oublier. Il faut se préparer, car un autre cyclone peut arriver”, confiait Siti Ali, venue avec sa famille.
La prévention ne se limite pas au risque cyclonique. L’équipe scientifique du Marion Dufresne, en escale à Mamoudzou, a exposé ses travaux sur le volcan sous-marin Fani Maoré, toujours surveillé de près par le réseau Revosima. Quatre étudiants de l’université de Mayotte participent à la nouvelle mission océanographique, preuve que la jeunesse mahoraise s’implique dans la compréhension et la maîtrise de ces phénomènes.
Au-delà de la sensibilisation, cette journée illustre une ambition claire : faire de la résilience une véritable culture civique à Mayotte. Sur ce territoire exposé à de multiples risques naturels, la vigilance et la responsabilité collective demeurent les meilleurs remparts face à la nature.



