Le tribunal correctionnel a condamné mardi une infirmière de 53 ans à sept ans de prison ferme pour son rôle de cheffe d’un trafic d’ice, survenu en 2019 et portant sur 3,5 kg de méthamphétamine.
Dès le lendemain, l’Ordre des infirmiers de Polynésie a publié un communiqué pour rappeler le caractère exceptionnel de cette affaire. L’organisation insiste sur le fait que ces faits graves n’ont « aucun lien direct avec l’exercice » de la profession.
Alors que de nombreux internautes ont réagi vivement sur les réseaux sociaux, l’Ordre tient à souligner que l’engagement, les compétences et l’éthique des infirmiers ne sauraient être remis en cause par un tel dossier. L’institution met en garde contre toute généralisation qui viendrait ternir l’image de la profession, largement reconnue pour son dévouement auprès des patients.
Illustration : Ligne de Presse (licence : infooutremer.fr)